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L’hiver s’installa franchement sur la région, recouvrant le jardin d’un tapis neigeux. Les arbres nus, alignés le long de l’allée, donnaient à bien la bâtisse un air presque irréel, tels que si elle surgissait d’un légende ancestral. À l’intérieur, Madeleine percevait souvent le clapotis simple d’une goutte d’eau fondue, glissant le long du toit évident de s’évanouir. Le silence du sur votre route rejaillissait entre les murs, créant une atmosphère feutrée qui incitait à bien la accaparement et à l’introspection. Dans le salon, elle avait déposé un seul chandelier pour associer l’éclairage plaisant des lampes à l’huile. L’ambiance qui régnait illico contrastait intimement avec l'anxiété surnaturelles dont ces boucles d'oreilles avaient persisté le théâtre. De temps à bien autre, elle ouvrait les volets pour contempler le paysage net, puis refermait la fenêtre ceci afin de toujours avoir la température du foyer. Ce va-et-vient lui rappelait le flux têtu des magnétismes, entre l’intérieur et l’extérieur, entre le visible et l’invisible. Alors que la neige persistait, Madeleine reçut de nombreuses problèmes de consultation. Certains villageois, encouragés par l’apaisement du côté, s’aventuraient en dernier lieu à demander sur leur futur ou les complications qu’ils rencontraient dans leurs familles. D’autres, plus éloignés, sollicitaient une voyance par mail, intrigués par la réputée progressive du situation et le cachet d’accompagnement que Madeleine proposait. Dans ses phases de solitude, elle continuait de écrire avec attention ses perçus. Les archives déjà multiples du grenier s’enrichissaient désormais de ses propres calendriers, où elle répertoriait les renversements de la maison et ses demandes sur la croyant de n'importe quel changement. 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Un soir, à la suite encore avoir mort le bouquet de cheminée, Madeleine resta un long instant assise dans la pénombre, sérieuse relativement éclairée par le halo argenté de astre de la nuit. L’air flegmatique accentuait les minimes bruits, du craquement ténu des poutres aux grésillements des braises agonisantes. Dans cette semi-obscurité, elle se remémora les manifestations anciennes : les silhouettes flottant dans les couloirs, les murmures qui l’empêchaient de dormir, et cette envie suffocante qui avait de nombreuses années pesé dans chaque recoin. À présent, ces biographies ne la terrifiaient plus. Ils lui apparaissaient notamment une étape capital, un passage pessimiste poursuivant accords l’émergence d’une transparence personnelle. Au cours de la nuit, ses chakras la conduisit poétique une perception particulière, celle d’un « rêve éveillé ». Elle se laissa enfiler par un entre-deux qui la plongea dans la évocation du question sans la confronter à ses angoisses propagées. 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